De Rothschild à Rothschild
Les mots référents pour la démocratie incluent les élections, les valeurs de la république, les lois et les libertés, la transparence, l’égalité et l’égalité. Selon Montesquieu, le pouvoir est partagé entre le judiciaire, l’exécutif et le législatif. Au siècle éponyme, la lumière serait apparue en France. La Statue de la Liberté française illumine en Amérique la globalité du globe, l’ancien et le nouveau.
Malgré toutes les précautions prises par la force vertueuse, il existe une autre puissance qui se dresse au-dessus de toutes les autres. Le pouvoir de l’argent. Vous êtes familier avec lui. Notre futur ex-président disait que « notre ennemi c’est la finance », alors qu’il était vrai qu’il était en campagne électorale.
Le pouvoir de l’argent a ses propres mots clés. Il s’agit notamment de la corruption, du trafic d’influence et du lobbying. La manipulation, le secret et le cosmopolitisme sont autant de moyens par lesquels l’argent est utilisé pour tout acheter et tout vendre : les biens et les consciences mais aussi les médias, la culture et même le corps humain. Le pouvoir de l’argent peut faire ou défaire les présidents, les rois et les dictateurs.
Celui qui frappe la pièce a le pouvoir. Ce privilège est généralement réservé aux États démocratiquement constitués. « Frapper de l’argent » est un indicateur de souveraineté pour un Prince ou un État au même titre que le sont les taxes sur les vers et l’enrôlement dans une armée.
Il s’agit de la première loi Pompidou en France. 73-7 du 3 janvier 1973 relative à la Banque de France. Cette loi fondatrice est historiquement reconnue comme le moment où a commencé le financement de l’économie et de l’État par l’Open market. Avant cet éclatement, la création monétaire en dernier ressort était sous le contrôle de la banque centrale nationale via le taux d’escompte accordé aux banques commerciales. Cette même banque centrale française finançait l’État français via le Trésor public. La Banque de France remplissait sa fonction d’établissement bancaire central dans tous les sens du terme, à la fois comme banque des banques et comme banque de l’État.
Cette loi de 1973, dite « Pompidou-Rothschild », a donné les clés de la Banque de France aux banques privées et à la finance apatride. La France ne peut plus emprunter d’argent à la Banque de France. Au lieu de cela, il doit utiliser ce « marché ouvert » pour le faire, clairement avec des banques privées, nationales et de plus en plus internationales. Ils ont également pris le pouvoir de créer de la nouvelle monnaie. Les intérêts de la dette, qui devaient être versés à la Banque de France, puis à l’État et enfin au peuple dans une démocratie digne de ce nom, ont été restitués aux créanciers privés.
Ce tour de passe-passe fait que la moindre somme d’argent en circulation pour acheter sa baguette et ses tickets PMU est en réalité de l’argent de la dette. Cette dette est devenue plus difficile à mesure que les milliardaires du monde ont explosé. Principe des vases communicants.
Karl Marx a écrit dans son Manifeste Communiste : « Quiconque ne connaît pas l’histoire est condamné à ne pas revivre cette expérience. Comment allons-nous le revivre si nous l’oublions ?
Georges Pompidou a été président de la République entre 1969 et 1974. Il a également travaillé pour la banque Rothschild entre 1954 et 1958.
Emmanuel Macron, le candidat à la présidence en 2017 a également été salarié de la banque Rothschild de 2008 à 2012.
François Henrot le recrute sur les conseils de… Jacques Attali. Ces parrainages en question sont si lourds qu’ils ne sont pas toujours les plus recommandés ni les plus soucieux des intérêts nationaux de la France. Ce fut une courte période, le temps d’accepter la haute finance et de faire rapidement fortune avant de revenir à la vie publique avec François Hollande à l’Elysée. Emmanuel Macron, qui n’a aucune expérience électorale ou politique, ne s’attarde pas. Il brigue aussitôt la présidence. Il faut agir vite pour empêcher les gens de se révolter.
Rothschild à Rothschild et retour à la case 1. Macron croit au tirage de cartes « chanceuses » et considère la France comme un grand monopole.
Voulez-vous « Arrêter » ou « Encore ? »
Michel Lebon
Quelques citations :
John Kenneth Galbraith : Économiste : « Le processus utilisé par les banques pour créer de l’argent est si simple qu’il rend l’esprit malade. » >>
Napoléon Bonaparte (fondateur de la Banque de France) : « Lorsqu’un pays est dépendant des banques pour l’argent, ce sont ces dernières, et non les dirigeants, qui contrôlent la situation puisque la main qui donne l’emporte toujours sur celle qui reçoit. » Les financiers n’ont pas de pays, ils sont simplement intéressés à gagner de l’argent. >>
Mayer Amschel Rothschild (1744-1812) : « Me permet d’émettre et de gérer les ressources monétaires d’un pays, et peu m’importe qui a écrit ses lois. >>